sociétés proposent des plaques à poser, de façon intégrale ou en damier, et des mottes à planter. Intégral, damier ou mottes ? « On peut poser la pelouse toute l ’année. En hiver ça peut pousser un peu moins vite, c’est surtout la chaleur qui fera la différence, estime Denis Boissery. Si tu es pressé et que tu as le budget, tu fais du placage intégral. Le soir même, tu danses dessus. Au bout de deux semaines, ça a pris en terre. Au bout d’un mois, tu passes la tondeuse. » Il peut être nécessaire de préparer le terrain avant de poser les plaques. « Fraisez le terrain, ajoutez si besoin un amendement (terreau, sable, tourbe…), puis de l ’engrais spécial gazon de façon uniforme. Arrosez le gazon dès la pose », détaille la pépinière La Tamoa. « Il est important d’aérer le sol en le retournant un peu, ou en le piquant, puis de mettre une couche de terre végétale avant de poser les plaques », confirme le gérant des Gazons de Dumbéa. En damier, la technique est la même, simplement le temps de pousse est plus long. « Je déconseille d’installer les plaques de gazon en damier, la différence se voit toujours », estime Christoph Romieu. « La reprise est plus longue et tu vois la différence pendant quelque temps », appuie le gérant des Gazons de Dumbéa. Enfin, il y a les mottes. La pépinière La Tamoa propose des godets de Saint-Augustin, un gazon « adapté à notre climat, rustique, à feuilles larges et à pousse rapide. Il résiste à la sécheresse et tolère les zones ombragées » et des mottes de Zoysia El Toro, « un gazon à feuilles moyennes, à pousse Outdoor Dossier Sur la place des Cocotiers, un mélange d’herbacées sauvages côtoie le gazon planté il y a plusieurs années. Mottes de gazon Saint-Augustin à la pépinière La Tamoa.
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