tez d’exprimer ses craintes sans que celles-ci envahissent son quotidien; Aidez-le à trouver des façons de se détendre et de gérer ses émotions et son stress. Si tout risque de maladie a bien été écarté, n’accordez pas trop d’importance à ses plaintes au sujet de malaises physiques; Essayez d’identifier avec lui ses pensées négatives et aidez-le à les remplacer par des pensées positives. Par exemple, vous pouvez faire une feuille sur laquelle vous écrirez ce que votre enfant peut faire de plaisant à l’école (p. ex. : apprendre de nouvelles choses, se faire des amis, jouer à de nouveaux jeux…); Récompensez votre enfant lorsqu’il réussit à affronter ses peurs. N’oubliez pas de lui dire que vous êtes fier de lui; Essayez de rester calme. Si vous démontrez de l’anxiété, du stress ou de la frustration, vous risquez de rendre votre enfant encore plus anxieux; Lorsque vous lui parlez de l’école, soyez affirmatif, ne laissez pas de place au doute. Dites par exemple : « Prépare-toi pour l’école » plutôt que : « Es-tu prêt pour l’école? » Utilisez « quand » au lieu de « si » : « Quand tu seras à l’école demain […] » plutôt que : « Si tu vas à l’école demain […] »; Si vous êtes incapable de l’envoyer à l’école, établissez des règles et restez ferme pour ne pas rendre la journée à la maison attrayante. Ne permettez pas la télévision, les jeux vidéo ou toute autre activité plaisante. Faites-lui faire des devoirs. Surtout, ne laissez pas cette situation se prolonger. Il faut aussi aller en parler avec l’équipe pédagogique, le médecin scolaire, et surtout, ne jamais négliger la possibilité que l’on puisse avoir besoin de se faire aider.
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