Femmes : Octobre2017

Vous avez une majorité de a : Vous positivez ! Vous transformez vos coups de cafard en avancées positives et en occasions d’apprendre. Voilà qui n’est pas à la portée de tout le monde ! Vous aussi, les coups de déprime vous envahissent de temps à autre, souvent liés à une sorte de nostalgie des bons moments, et s’accompagnent parfois d’une baisse de motivation et d’envie. Cartésienne, vous savez lever le pied, vous interroger sur les causes de votre mélancolie, et vous en profitez pour faire le point sur vos désirs, vos satisfactions, vos peines… Vous disposez sûrement de solides points d’ancrage dans votre vie et avez de toutes façons assez confiance en vos capacités à rebondir rapidement. Un vrai modèle à suivre ! Vous avez une majorité de b : Vous fuyez… Votre technique consiste plutôt à ignorer les coups de déprime en déguerpissant à toutes jambes ! Vous vous débrouillez pour être au centre d’un tourbillon d’activités, de projets et de relations sociales pour ne rien laisser s’installer. Et quand vous sentez venir ne serait-ce qu’un petit vague à l’âme, vous accélérez encore le rythme ! Si cette fuite en avant peut fonctionner, attention à ce que vos problèmes ne remontent pas brutalement et deviennent ingérables. Vous avez tendance à considérer la déprime comme une marque de faiblesse ce qui vous pousse à refouler toute difficulté. Essayez de ralentir un peu et laissez vos émotions s’exprimer… Vous verrez que les coups de blues pourront se régler définitivement au lieu de les remettre à plus tard. Vous avez une majorité de c : Vous subissez. Vous adoptez vis-à-vis de la déprime une attitude un peu défaitiste. Vous baissez les bras quand vous la sentez arriver, vous êtes dans l’acceptation passive, et vous n’éprouvez ni l’envie ni l’énergie de lutter contre. Vous la considérez comme une fatalité et vous la laissez à chaque fois s’installer. Votre fragilité par rapport aux pensées tristes a certainement pris racine dans votre manque de sources de satisfaction et, parce que vous ne pouvez vous raccrocher à des plaisirs riches et variés, vous vous sentez vite prise au dépourvu et démunie pour réagir. Commencez par cesser de croire que le bonheur n’est pas pour vous et que la vie ne peut vous sourire. Pour réagir, puisez dans vos désirs ou dans vos rêves… et réveillez-les ! 1. Cela fait déjà plusieurs jours que vous ne sentez aucune énergie en vous levant le matin : A. Vous vous dites qu’il faudrait peut-être ralentir un peu votre rythme. B. Vous passez chez le pharmacien vous prendre un remontant. C. Vous vous trainez en espérant que ça finira par passer. 2. Vous vous promenez seule sur la plage après une rupture : A. Vous en profitez pour admirer le paysage qui vous rappelle des souvenirs. B. Vous partez rejoindre un endroit plus animé pour avoir la sensation d’être entourée. C. Vous vous sentez au milieu de nulle part, triste, et vous cafardez . 3. Vous avez remarqué que vos coups de blues surviennent plus souvent lorsque : A. Vous pensez au passé, à vos rêves et à votre insouciance d’enfant. B. Vous vous retrouvez seule quelque part, sans présence ni agitation autour de vous. C. Vous côtoyez des gens dynamiques qui ont l’air mieux dans leur peau que vous. 4. Le mot dépression évoque pour vous : A. Une parenthèse. B. Des sables mouvants qui vous aspirent. C. Un gouffre sans fin dans lequel on tombe inexorablement. 5. Quand vous êtes en pleine baisse de moral, vous ressentez principalement : A. Une sorte de mélancolie. B. Une angoisse qui monte. C. Un gros vide qui vous attire. 6. À l’une de vos amies qui déprime depuis des mois, vous conseillez : A. D’entreprendre une thérapie pour se faire aider. B. De demander des antidépresseurs à son médecin. C. De prendre son mal en patience. 7. Entendant des nouvelles vraiment alarmantes, vous vous dites : A. Je ferai tout pour que de telles choses ne m’arrivent pas. B. Et avec ça, il faudrait qu’on soit heureux ! C. C’est comme ça, on n’y peut rien. 8. Vous passez la soirée chez des amis, mais votre moral est vraiment au plus bas : A. Vous faites comme si de rien n’était. B. Vous comptez sur eux pour vous changer les idées. C. Vous restez silencieuse à ruminer dans votre coin. 9. Vous venez de casser un souvenir de votre grand-mère qui vous était très cher : A. Vous vous raisonnez en vous disant que ce n’est pas si grave. B. Vous partez vite à la recherche d’un objet du même style pour le remplacer. C. Vous mettez plusieurs jours à vous résoudre à jeter les morceaux. 10. Quand vous avez le cafard comme ça, vous aimeriez que votre amoureux : A. Soit à l’écoute et câlin avec vous. B. Vous bouscule un peu pour vous changer les idées et vous faire réagir. C. Vous laisse tranquille sans s’en mêler. 11. Le petit truc qui pourrait éventuellement vous aider à en sortir, ce serait de : A. Faire le vide dans votre armoire et jeter vos vieilleries. B. Aller faire du shopping et dépenser sans compter. C. Faire un marathon de séries télé pendant toute une journée. 12. Vous sentez monter une grosse envie de pleurer, comment réagissez-vous ? A. Vous prenez du recul deux minutes et réalisez que se morfondre n’avance à rien. B. Vous vous lancez vite dans un ménage compulsif pour penser à autre chose. C. Vous anticipez en préparant un bon stock de mouchoirs en papier. RÉSULTATS DU TEST 70 test psycho

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