TEST PSYCHO 11. Votre chéri est déprimé et vous gagnez au Loto : A. Vous l’emmenez en week-end royal à Venise. B. Vous achetez une maison où il aura son espace à lui sur un étage. C. Vous lui offrez la Jaguar de ses rêves. 12. Vous seriez prête à pardonner une infidélité sous cette condition : A. La fille en question n’avait plus qu’un mois à vivre. B. Que vous puissiez lui rendre la monnaie de sa pièce l’espace d’un soir. C. Qu’il vous fasse des excuses passionnées. A B C Vous avez une majorité de “A” : Euh… nulle part ! Vous aimez être seule, les autres c’est sympa à petites doses. Votre truc est l’épanouissement personnel, et vous avez beaucoup de mal à supporter d’autres gens dans votre environnement lorsque ça dure. Vous n’êtes absolument pas faite ni pour la vie à deux, ni pour le travail en équipe. Vous avez besoin de solitude, de longs moments bien à vous sans être dérangée, car vous vous auto-suffisez amplement. Comme cet état de fait, qui dure depuis longtemps (déjà à l’école vous étiez très indépendante) déplaît à 99 % des gens, vous prenez sur vous et vous essayez de socialiser. Vous faites des efforts pour vous montrer aimable, mais la courtoisie ne peut durer éternellement : si on empiète trop (ou trop longtemps) sur votre besoin de calme, vous pouvez devenir désagréable et sèche. De toute façon, vous accueillez avec une telle froideur les propositions enthousiastes des personnes collantes qu’elles sont censées comprendre ! Faites des concessions pour ne pas blesser les autres, ne rembarrez pas les gens qui recherchent votre compagnie, esquivez-vous en souriant, ça passera mieux et on vous prendra moins pour une sauvage… Vous avez une majorité de “B” : Vous semblez à l’aise dans votre peau, vous aimez bien les autres et vous n’angoissez pas trop lorsque vous êtes longtemps seule. À condition que vous soyez certaine que cela ne va pas trop durer quand même. Les autres ne sont pas votre unique raison de vivre, mais vous appréciez beaucoup la compagnie de votre chéri, de votre famille, de vos amis et de vos collègues. Vous pensez que l’être humain n’est pas fait pour la solitude, et vous êtes d’accord pour faire des compromis afin d’harmoniser la vie ensemble. Cela vous semble juste, et les périodes de célibat ne vous pèsent pas trop, car vous savez que votre tempérament vous poussera à rechercher un nouvel amour tôt ou tard. Même chose pour les vacances : l’idée de partir en solo ne vous séduit pas du tout, vous adorez partager, le bruit ne vous gêne pas vraiment, et vous avez un caractère facile à vivre. Bravo pour cet état d’esprit que vos proches doivent beaucoup envier ! Vous avez une majorité de “C” : Jusque très très loin ! Vous êtes si dépendante que l’idée de rentrer dans une maison vide le soir, sans lumières allumées ou personne pour vous accueillir, vous fait froid dans le dos. Vous êtes incapable d’envisager un samedi soir seule, ou un dimanche entier sans compagnie. Même dormir seule vous est pénible, tant vous avez besoin de réconfort. Car les autres représentent une sécurité, un cocon qui vous évite de céder à la panique. Vous avez besoin d’être en permanence entourée de gens, d’un brouhaha (vous allumez la télé même sans la regarder pour avoir une sensation de présence) et passer deux heures en tête à tête avec vous-même, à part éventuellement dans la salle de bains pour vous préparer, vous semble insurmontable. Cette dépendance est inquiétante car vous faites partie de celles qui préfèrent encore être mal accompagnées et malheureuses que seules, car elles sont alors bien plus anxieuses et épouvantées par elles-mêmes. Essayez d’analyser cette frayeur qui vous noue l’estomac : d’où vous vient-elle ?
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