Le guide du mondial 2022

finalistes malheureux du dernier Euro, qui se sont inclinés de justesse contre le champion italien, possèdent sans doute la génération la plus douée de leur histoire. Il n'empêche, il demeure toujours une sorte de malédiction anglaise qui semble empêcher l'équipe nationale de remporter les rencontres à élimination directe où l'enjeu est fort. Le sélectionneur Gareth Southgate compte bien sur les sables du désert pour la lever. DUELS DE FRÈRES ENNEMIS La seconde place du groupe devrait échoir aux États-Unis qui sont en constante progression depuis une vingtaine d'années. Quinzième au classement Fifa, le onze américain est cohérent, même si les derniers matchs amicaux (0 à 0 contre l'Arabie Saoudite, défaite 2 - 0 contre le Japon) laissent planer quelques doutes. Bien sûr, tous les observateurs auront les yeux rivés sur le match qui opposera la sélection de Gregg Berhalter à l'Iran, mais les joueurs perses, auteurs d'une remarquable campagne de qualification, auront sans doute la tête ailleurs et des préoccupations autres que footballistiques. Le pays de Galles, qui retrouve la Coupe du monde après 64 ans d'attente, pourrait ainsi tirer son épingle du jeu géopolitique. Les hommes de Robert Page ont bien l'intention de jouer un mauvais tour à leur meilleur ennemi anglais et de profiter de la baisse de régime des États-Unis. Angleterre - Iran - États-Unis - Pays de Galles 34 Après 64 ans d'attente, l'équipe du pays de Galles menée par Robert Page espère briller à la Coupe du monde. Le sélectionneur de l’équipe des Etats-Unis, Gregg Berhalter.

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