Femmes Septembre 2019

14 Équilibre des ensembles cellulaires qui constituent le corps. Elle permet de vérifier aux différents niveaux de l’organisme les perturbations correspondant à des désordres énergétiques, ou à des pathologies plus graves. « Les techniques ACMOS et leur développement ont pour base la physique quantique et lamédecine traditionnelle chinoise. Elles permettent d’atteindre la cause profonde du désordre d’une personne et non de traiter simplement les symptômes d’un dysfonctionnement en prenant en compte l’individu dans toute sa dimension énergétique », souligne Caroline Habib. La méthode permet d’agir aussi bien sur le plan physique que mental et émotionnel. Protocoles Les protocoles rigoureux développés comportent un certain nombre d’instruments et de dispositifs particuliers. La séance débute avec un bilan par résonance quantique au moyen de l’antenne de Lecher. « Il s’agit de vérifier chaque partie du corps, de mesurer les dysfonctionnements vibratoires d’un organe, d’une fonction ou d’une zone du corps et d’identifier les nœuds des problèmes, afin que l’ensemble de l’organisme reprenne sa vitalité », indique Caroline Habib. Le bioénergéticien suit les priorités et l’intelligence du corps et corrige ses perturbations. « C’est l’un des points forts de la méthode car le corps possède ses priorités qui ne sont pas forcément celles auxquelles nous pensons. » À la suite des résultats du bilan, le thérapeute préconise des huiles essentielles, des minéraux, des oligo- éléments, de l’homéopathie, de la phytothérapie. La méthode ACMOS ne se substitue pas au diagnostic médical et ne modifie en aucun cas les traitements médicaux et la posologie indiquée par les professionnels de la santé. L’origine de la méthode ACMOS C’est après un accident de genou qui sera soigné en Chine par un spécialiste de la médecine traditionnelle chinoise que René Naccachian a commencé ses recherches sur tout ce qui touche l’aspect énergétique de l’homme. Par sa formation d’ingénieur spécialisé dans les instruments de mesure, il lui est apparu indispensable de mesurer les paramètres bioénergétiques. La méthode est le résultat des travaux poursuivis depuis 1975 par celui qui est aujourd’hui docteur en médecine énergétique, en sciences et en biologie moléculaire, et chercheur en biophysique et en bioénergétique. Il créa en 1985 le centre de recherche scientifique en bioénergétique : SBJ International. En 2010, René Nacacchian reçoit la médaille d’or de la SEP (Société d’encouragement au progrès) pour l’importance de ses découvertes et de leurs applications dans le domaine de la santé. Pour tout renseignement Caroline Habib : 76 66 16

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