Femmes : Mai 2018

10 people Polémique autour d’un nom Adriana Sklenaříková est plus connue sous le nom d’Adriana Karembeu. Mariée en 1998 avec Christian Karembeu, elle s’est finalement séparée du footballeur en 2011. Sept ans après leur divorce, la belle blonde conserve cependant toujours le nom de son ex-mari. Un patronyme qu’elle ne semble pas prête à abandonner. Remariée à l’homme d’affaires Aram Ohanian en juin 2014, Adriana Karembeu poursuit ses activités d’ambassadrice de la CroixRouge ou encore d’animatrice dans Les Pouvoirs extraordinaires du corps humain avec Michel Cymes sur France 2. Parallèlement à tous ces projets, elle s’apprête également à devenir maman à 46 ans. Une situation dérangeante La jeune femme n’a, aujourd’hui, plus besoin de se faire un nom. Mais Christian Karembeu commence à s’agacer du fait que son ex porte toujours le sien. Interrogé par Le Matin, le footballeur de 47 ans a confié que cette situation le « dérangeait » : « Je suis le premier à dire basta ! J’ai toujours voulu avoir des relations cordiales et je pense qu’il n’y a aucune animosité entre nous, mais oui cela me dérange énormément, a-t-il expliqué. J’espère que nous n’aurons pas à attendre que des juges décident à ce sujet. » Un nom d’artiste Mais pourquoi Adriana Karembeu s’entête-t-elle à garder le nom de son ex ? Et Christian Karembeu peut-il vraiment exiger qu’elle abandonne son nom ? Selon des informations de Closer, l’ex-mannequin serait dans son bon droit. Au début de sa relation avec l’ancienne égérie d’Atol, le footballeur a ainsi signé un contrat autorisant cette dernière à conserver son patronyme même après leur séparation. « Le nom de Karembeu est considéré comme un nom " d’artiste " puisque le vrai nom du champion du monde 98 est Christian Lali Kake Karembeu », révèle le magazine. L’ancien Bleu devra donc se faire une raison. Une grande fille toute simple Elle est la fille du moment, la top qui a le plus défilé en 2017. En langage mode, cela veut dire qu’elle est exactement « tendance ». Mais de qui parle-t-on ? De la « petite » Toulousaine Léa Julian. Du haut de ses 20 ans et de son 1m80, la jeune fille explose dans le monde de la mode. Elle s’est hissée au rang des « régulières » dans plusieurs grandes maisons. Valentino, Giambattista Valli et Chanel, bien sûr, pour qui elle a déjà défilé une dizaine de fois, ce qui est rare, tant la mode consomme de visages et de silhouettes. « Tout le monde aime Léa. Elle est très professionnelle, ponctuelle, ne fait pas la diva et ne se plaint jamais, explique Léna Bodet, son agent chez Elite. Ici, nous l’avons remarquée pour son incroyable physique, son regard percutant. Mais surtout pour sa personnalité. Elle est toujours joyeuse. C’est notre étoile montante, la perle rare de l’agence. » Ce qui n’est pas peu dire venant d’une spécialiste qui a révélé Cara Delevingne, le plus grand mannequin de la décennie ! Léa lors d’un défilé en septembre 2017 à Londres pour la collection Mary Katrantzou printemps-été 2018.

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