Construire Novembre 2020

SÉBASTIEN MEIER, responsable commercial chez Azur Piscines, spécialisée dans la vente de piscines en fibre de verre, de produits et accessoires pour piscines. Vous êtes présents en tant qu’annonceur dans notre magazine depuis des années. Expliquez-nous les raisons d’une telle démarche, celles pour lesquelles vous nous soutenez ? Selon moi, les personnes qui lisent le magazine Construire sont, pour la plupart, des gens qui veulent s’investir dans des travaux, que ce soit dans le cadre de l’achat d’une maison, de la rénovation de leur résidence ou de l’acquisition d’un terrain pour faire construire une habitation neuve. Dans ce cadre, ils souhaitent aménager également leur extérieur en installant une piscine par exemple. C’est pourquoi, il est important d’avoir une bonne visibilité dans ce magazine qui existe depuis 20 ans et qui est bien distribué. Construire est partenaire des salons dédiés au bâtiment, à l’instar de Bât Expo. Il crée du lien entre les professionnels et le public qui est au rendez-vous. Bien évidemment, lorsqu’il y a un « spécial piscines », nous avons tout intérêt à faire de la publicité. Je tiens à dire qu’en matière de stratégie de communication, c’est le seul magazine papier dans lequel nous sommes encore présents. Qu’est-ce qui vous intéresse en particulier dans Construire ? Le magazine s’est très modernisé visuellement, il est plus esthétique que dans ses premières parutions. Il suit la tendance et c’est pour cela qu’il est toujours présent. On y découvre le savoir-faire des entreprises locales, des portraits de gens d’ici, des projets locaux, c’est sa force et c’est important pour moi. Les articles tirés d’Internet avec des photos qui ne nous concernent pas, cela intéresse peu de gens. C’est pour cela qu’il a sa place depuis 20 ans sur le marché. On peut avoir des ouvertures sur le monde mais la proximité est essentielle et il est bien ancré pour être un vecteur du secteur du bâtiment local, de la construction. On y retrouve des entreprises qui sont implantées ici depuis longtemps. Le magazine parle également des projets nouveaux, des nouvelles technologies. Il reste dans le coup. NICOLAS LEROUX, gérant de la Quincaillerie calédonienne, spécialiste en quincaillerie et fixation. Vous êtes présents en tant qu’annonceur dans notre magazine depuis des années. Expliquez-nous les raisons d’une telle démarche, celles pour lesquelles vous nous soutenez ? Cela fait 12 ans que nous communiquons dans chaque numéro de Construire car le magazine correspond complètement à notre domaine d’activités, aussi bien en construction qu’en jardinage, avec une cible qui comprend les clients professionnels et les clients finaux de nos clients. Le magazine nous permet de mettre en avant nos produits, nos promotions. C’est important d’être encore présent dans un magazine papier car il y a des gens qui préfèrent encore le papier et qui lisent Construire . Qu’est-ce qui vous intéresse en particulier dans Construire ? Tout dépend des dossiers et des articles proposés. Je m’intéresse à des sujets sur la construction, sur des process, à des interviews d’acteurs locaux... Qu’auriez-vous à dire sur l’évolution du magazine ? Je pense qu’il a bien évolué et est encore à la page et axé local. Le magazine traite de sujets qui intéressent les Calédoniens, la construction, le jardinage. J’aimerais toutefois trouver des articles qui donnent la parole à des entreprises dans chaque corps de métier pour que les lecteurs soient aiguillés et sachent où s’adresser. Par exemple, si un lecteur souhaite isoler sa maison, qu’il puisse savoir quelles entreprises s’occupent de ce genre de travaux. De mémoire, il y avait eu un numéro sur tous les constructeurs de maisons, c’était très instructif. 18 Anniversaire 20 ans ! Numéro spécial