COULISSES 6 Ne nous fâchons pas 100 MINUTES DE DÉBAT Ne nous fâchons pas, c’est 100 minutes de débat, d’échanges, d’éclairages, d’intelligence, de désaccords argumentés et courtois. Un talkshow vif, rythmé et informé, où l’art de débattre est à l’honneur pour saisir toutes les nuances de la France. Chaque semaine, Anaïs Bouton recevra deux invités qui se plieront à l’art du débat autour d’une grande thématique, fil rouge de la soirée. La faillite des services publics, la dénatalité, la crise de l’autorité, le sens du travail : les enjeux de la société française seront décortiqués et analysés au regard d’opinions contrastées. À l’issue de ce grand débat, Julie Graziani, Raphaël Enthoven et Jonathan BouchetPetersen interviendront en plateau pour réagir et questionner nos invités. Anaïs Bouton et les trois débatteurs seront ensuite rejoints par d’autres invités, experts, intervenants directement concernés par la thématique. Ensemble, ils échangeront et porteront un nouveau regard sur le débat et les questions qu’il pose. Chaque jeudi, à 21h, sur Paris Première. Quelle est la singularité de cette émission ? Nous voulions une émission de débat qui offre à nos téléspectateurs du recul et une mise en perspective sur de grands thèmes de société. Grâce notamment à des magnétos qui peuvent apporter un éclairage parfois historique, philosophique ou politique, mais aussi grâce à des invités pertinents, des chroniqueurs chevronnés. Nous proposerons des débats argumentés et enrichissants autour d’un thème par émission. Nous sommes par ailleurs soutenus par un partenariat avec l’IFOP. Chaque numéro s’appuie sur des sondages exclusifs dédiés à nos thématiques. Nous échangeons sur ces sondages durant l’émission pour approfondir nos débats. Pourquoi “Ne nous fâchons pas” ? “Ne nous fâchons pas” est un peu une promesse que nous nous faisons. Nous allons parler de sujets qui fâchent, mais l’objectif n’est pas de s’écharper. Les échanges seront construits, rythmés et sûrement intenses mais jamais irrespectueux, comme toujours sur Paris Première. Comment est née votre équipe de chroniqueurs ? Cette équipe s’est constituée et construite dans le même état d’esprit que le concept de l’émission. C’est-àdire avec la volonté d’avoir des faceà-face toujours plus riches et étayés, nourris par des personnalités solides aux opinions variées. Sans diversité dans les idées, le débat reste inerte. 3 QUESTIONS À Anaïs Bouton, animatrice de Ne nous fâchons pas
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