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A C T U A L I T E
J
aguar Land Rover, détenue par le groupe indien
Tata Motors, se lance en Chine dans une bataille
juridique et judiciaire osée contre Jiangling Motor,
rapporte le site automobile Caradisiac. La marque a
porté plainte auprès d’un tribunal de district, en Chine,
accusant ce concurrent de contrefaçon : son SUV
baptisé Landwind X7 ressemble comme deux gouttes
d’eau au Range Rover Evoque.
Pour la marque britannique, comme pour d’autres
constructeurs étrangers, le marché chinois est devenu
stratégique depuis qu’elle a inauguré, il y a dix-huit
mois, dans la province de Jiangsu, sa première usine
hors de Grande-Bretagne. Pour attaquer le marché
local, elle s’est associée avec le constructeur
automobile chinois Chery, dans le cadre d’une
coentreprise à 50-50.
Si nombre de véhicules de marques européennes
(notamment des Mercedes) ont inspiré des
automobiles chinoises, Jaguar Land Rover a vu rouge
en constatant que son rival chinois avait produit un
quasi clone de l’Evoque, lui-même vendu en Chine.
Land Rover a vu ses ventes baisser en Chine de près
de 16 % en 2015.
L
e roadster vedette, très attendu des fidèles
de la marque nipponne, est enfin arrivé en
concession. La machine quatre cylindres,
issue directement de la mythique R1, affiche
160 ch tout de même et bénéficie de quelques
aides électroniques comme l’anti-patinage et la
gestion de l’injection. Moins exclusive dans sa
position de conduite, la MT10 bénéficie aussi
d’un empattement plus cour t, gage de
maniabilité pour ce roadster de 210 kg. Elle est
proposée à 2 250 000 francs chez Royal Motors.
E
n Métropole, il est possible de payer une amende depuis son
canapé en passant par le site officiel du Gouvernement. On peut
même le faire depuis n’importe quel ordinateur relié à Internet,
ou encore grâce à une application sur smartphone. Mais certains
préfèrent se rendre carrément au Trésor Public pour payer en espèces.
Dans la mesure où débourser une telle somme n’est jamais une partie
de plaisir, un conducteur a trouvé un moyen décalé pour montrer son
mécontentement. Il y a quelques semaines, ce conducteur alsacien s’est
rendu au centre des finances publiques d’Illkrich près de Strasbourg
pour payer en liquide un PV reçu suite à un excès de vitesse.
Il a d’abord tendu au guichetier un billet de dix euros et des pièces d’un
euro. Puis il a complété la somme, soit 75 euros, avec des petites pièces
rouges, de 1, 2 ou 5 centimes. Cela a représenté plus de 5000 petites
pièces. Si une telle pratique n’est pas inédite, ici, le contrevenant a filmé
la scène. On se rend alors compte du volume impressionnant
d’espèces… et du casse-tête que cela a dû représenter pour l’employé
de l’État afin de tout recompter.
Ironie de l’histoire, le conducteur n’en était pas à son coup d’essai
puisqu’il avait déjà procédé de la sorte il y a deux ans. Et, pur hasard,
avec le même guichetier. Mais à l’époque, l’amende n’était que de 15
euros. Pour expliquer son geste, l’homme a indiqué ne pas avoir
apprécié d’être flashé pour 1 km/h en trop seulement dans une zone de
travaux.
LAYAMAHAMT10
ÀVOIRCHEZROYALMOTORS
ILPAYE SONAMENDEAVEC
DES CENTIMES
UNECOPIE SANS
ÉQUIVOQUE
Les cas de personnes qui payent leurs impôts avec
des centimes sont fréquents… mais ils font toujours
leur effet !