8 BUZ ZZZZ Z Événement sans précédent : la Nouvelle- Calédonie a récemment eu l’honneur d’ac- cueillir pour quelques jours Marie-Thérèse Besson, Grande Maîtresse de la Grande loge féminine de France (GLFF), venue pour l’ouverture d’une seconde loge locale. À cette occasion, une conférence publique a été organisée pour en savoir un peu plus sur les valeurs et les dogmes défendus par la première obédience féminine mondiale, qui ne compte pas moins de 14 000 membres à travers le globe. « En Nouvelle-Calédonie, la GLFF est représentée par près de soixante femmes, précise Marie-Thérèse Besson. D’où la nécessité d’ouvrir une seconde loge, car plus celles-ci sont petites, plus le travail de réflexion est intense et favorisé. D’autre part, la nouvelle loge a été inaugurée par un “rite” différent de la première, c’est-à-dire une orientation de pensée et un fonctionnement qui s’éloignent quelque peu de la première. Ainsi, le travail de réflexion dans la nouvelle loge sera surtout axé sur des problèmes sociétaux concrets, contrairement à la première, plutôt tournée vers le symbolisme et la spiritualité. Pour autant, les valeurs véhiculées restent les mêmes. » Justement : les obédiences, et tout particulièrement la franc-maçonnerie, ont la réputation d’être des organisation secrètes, réservées à un petit cercle d’initiés. Mais qu’en est-il vraiment ? « Toutes les femmes sont les bienvenues dans la GLFF, révèle la Grande Maîtresse. Tout dépend ensuite des motivations de la personne, de ses aspirations, de ses valeurs. Il faut que la prétendante soit aussi prête à travailler sur elle-même. Car la franc-maçonnerie est avant tout un courant de pensée, un lieu de réflexion. Nous sommes des bâtisseurs, qui commencent par se construire eux-mêmes, avant de pouvoir se tourner vers les autres. » Quant au « mys- tère » flottant autour de la franc-maçonnerie, Marie-Thérèse Besson l’explique par l’initiation, de l’ordre de l’intime et qui donc ne se raconte pas : « C’est une expérience qui n’a de sens que pour la personne qui la vit. » Oublier son ex n’est jamais facile. Surtout quand on voit des photos de lui toutes les deux heures sur les réseaux sociaux. Alors, pour vous aider à surmonter votre rupture, Facebook teste, depuis le 19 novembre, de nouvelles options qui permettent de limiter vos interactions avec votre ancien partenaire sans le bloquer. « Ces nouveaux outils proposeront aux utilisateurs de moins voir sur Facebook, le nom ou la photo de profil d’un ex, sans avoir à le retirer de sa liste d’amis ou le bloquer », a déclaré le groupe américain sur son blog officiel. Pour activer ces options, rien de plus facile. Il suffit simplement de changer de statut amoureux en passant de « en couple » à « célibataire ». À partir de là, l’utilisateur peut décider ou non de réduire l’apparition des publications de son ex sur son fil d’actualité. De la même façon, l'usager a la liberté de cacher ses propres photos, ses vidéos et ses statuts. Pour le moment, ces nouveaux outils ne sont disponibles qu’aux États-Unis et sur mobile. Facebook a indiqué vouloir attendre les avis des utilisateurs avant de les déployer à l’international. Vivement qu’on puisse découvrir cette nouvelle fonctionnalité ! Source Glamour UNE GRANDE MAÎTRESSE SUR NOTRE PETIT CAILLOU © DR 118 ANS ! C’est ce qu’il faudra encore attendre avant de parvenir à l'égalité salariale entre hommes et femmes... Établis par le Forum économique mondial, des chiffres ont révélé mercredi 18 novembre que la crise économique de 2008 a littéralement stoppé les progrès en matière d’égalité salariale entre les sexes. Et au rythme des changements économiques actuels, il faudra donc attendre l’année 2133 pour espérer toucher autant qu’un homme à poste égal. La parité, une bonne blague ? Source Marie Claire FACEBOOK VOUS AIDE À TOURNER LA PAGE p © Aude-Emilie Dorion
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